Archives de catégorie : Newsletter N°43-Actu Aéro

UKRAINE

Entretien avec Jean-Yves Le Drian, ministre des Affaires étrangères

Jean-Yves Le Drian, ministre des Affaires étrangères, accorde un entretien au Figaro. Il évoque les conséquences et l’évolution de la guerre en Ukraine. « Cette guerre a produit un triple réveil. D’abord, elle a contribué à renforcer la nation ukrainienne. Ensuite, elle a provoqué un réveil de l’Union européenne. L’Europe s’est affirmée comme puissance, elle est restée unie et a montré qu’elle était capable de prendre rapidement des décisions d’ampleur. Ce n’est déjà plus la même Europe qu’avant la guerre. L’UE a décidé de mettre fin à sa dépendance énergétique vis-à-vis de la Russie et elle a renforcé sa posture sécuritaire en adoptant la boussole stratégique et en s’engageant à augmenter ses capacités. Enfin, la guerre a réveillé l’OTAN. Il y a quelques mois, l’Alliance s’interrogeait sur son propre devenir. Aujourd’hui elle revient à ce qui fait son fondement, la défense collective de l’espace euro-atlantique ». En ce qui concerne les progrès faits par l’Europe, il estime que « les pas franchis sont considérables » et devraient perdurer après la guerre. « Quand l’Union européenne décide de mettre fin, avec un calendrier précis, à sa dépendance énergétique, c’est une étape majeure. Quand elle décide d’adopter la boussole stratégique, c’est aussi une étape majeure. Je ne vois pas de retour en arrière possible ».

Le Figaro du 1er avril

DEFENSE

Airbus Defence and Space : ASPAARO choisi par l’OTAN pour une étude de faisabilité et réduction des risques (RRFS)

Airbus Defence and Space, Northrop Grumman Corporation et sept acteurs industriels formant l’équipe ASPAARO (Atlantic Strategic Partnership for Advanced All-domain Resilient Operations) ont été sélectionnés par l’Agence OTAN de soutien et d’acquisition (NSPA) pour mener l’une des études de faisabilité et de réduction des risques (RRFS) commandées par l’Alliance atlantique. Ces études visent à proposer des solutions techniques pour le système futur de surveillance et de contrôle de l’Alliance (AFSC, Alliance Future Surveillance and Control). Leurs résultats aideront l’OTAN et ses alliés à prendre des décisions sur le concept technique final de l’AFSC et l’acquisition de systèmes de surveillance. « La sélection de l’ASPAARO comme partenaire d’étude représente une étape importante pour remplacer la flotte actuelle du système aéroporté d’alerte et de contrôle qui atteindra la fin de sa durée de vie vers 2035 », précise Airbus Defence and Space. « Airbus s’est engagé à coopérer durablement avec l’OTAN et ses pays membres dans le cadre du programme AFSC. La situation de crise actuelle nous rappelle que la vigilance ainsi que les capacités de surveillance et de contrôle sont d’une importance capitale pour la défense de l’Alliance. Airbus Defence and Space dirige l’équipe ASPAARO qui contribuera aux études de réduction des risques et de faisabilité. L’accent est mis sur un système inter-domaines entièrement distribué afin de créer la solution la plus fiable, la plus résiliente et la plus performante pour la surveillance et le contrôle futurs de l’OTAN », a déclaré Michael Schoellhorn, CEO d’Airbus Defence and Space.

La Tribune du 1er avril

Base industrielle et technologique de défense (BITD) : Eric Trappier, Pierre Eric Pommellet et Marc Darmon auditionnés à l’Assemblée nationale

Mercredi 30 mars, la commission de la Défense de l’Assemblée nationale a auditionné Éric Trappier, président du CIDEF, président d’honneur du GIFAS et PDG de Dassault aviation, Pierre Éric Pommellet, président du GICAN et PDG de Naval Group, et Marc Darmon, président du GICAT et directeur général adjoint de Thales, sur les conséquences pour la base industrielle et technologique de défense (BITD), française et européenne, de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Eric Trappier, qui a rappelé que la Loi de programmation militaire de 2017 (3 Md€ annuels pour arriver à environ 50 Md€) avait pour but de rattraper un retard accumulé depuis la fin de la guerre froide et de préparer les guerres du futur, a alerté : « On assiste à la fin de ce qu’on appelait les dividendes de la paix. C’est bien fini, la menace est à la porte de nos frontières, il faut réagir vite et très vite ». « La crise Covid avait révélé que l’industrie devait être une priorité nationale et de souveraineté nationale et européenne. La crise ukrainienne le démontre de manière encore plus flagrante », a souligné le dirigeant. « Cette crise rappelle combien une industrie de défense souveraine est fondamentale », a insisté Pierre Eric Pommellet. « Nous faisons face à une augmentation des prix et des délais, ce qui aura des conséquences sur les livraisons et les prix devront être ajustés », s’est inquiété Marc Darmon. Eric Trappier note que des difficultés industrielles en Europe profiteraient aux concurrents américains. « L’Europe de la Défense se construit sur du long terme, mais le risque est à court terme. Le réflexe immédiat est donc d’acheter américain » note-t-il. Eric Trappier a fait part de son indignation concernant l’évolution de la taxonomie de Bruxelles, qui pourrait pénaliser les industries de Défense : « entendre dire à Bruxelles qu’armer son pays est au même niveau que l’alcool ou le tabac, c’est intolérable ».

BFM-TV du 31 mars

Le consortium Abiliti, dirigé par Boeing, pilotera l’étude pour le remplacement des E-3 Sentry de l’OTAN

Le consortium Abiliti, géré par Boeing, a été choisi par l’OTAN pour piloter l’étude de faisabilité et de réduction des risques (RRFS) pour le remplaçant des avions de détection E-3 Sentry de l’Alliance. Cette étude doit permettre de définir les concepts de surveillance, de commandement et de contrôle aéroporté (AFCS) de la future flotte d’AWACS (Airborne WArning and Control System, Système d’alerte et de contrôle aéroporté) de l’Alliance atlantique. Les entreprises Thales (France), Indra (Espagne), Leonardo (Italie), Inmarsat (Royaume-Uni), ESG (Allemagne), Lufthansa Technik (Allemagne), et Mott MacDonald (Royaume-Uni), font partie du consortium Abiliti, formé en 2019. La flotte de Sentry de l’OTAN doit être remplacée à l’horizon 2035. Depuis le début de la guerre en Ukraine, ces avions volent constamment sur le flanc Est de l’OTAN et particulièrement aux abords de l’Ukraine, précise Air & Cosmos.

Air & Cosmos du 1er avril

Politique industrielle de Défense : les défis pour la France

Air & Cosmos publie un dossier consacré aux défis de la transformation du secteur Défense français, suite à la nécessité de « migrer d’une industrie de Défense à une industrie d’armement », après l’agression de l’Ukraine par la Russie. Le magazine estime nécessaire de « revenir à des stocks de guerre de missile, recourir beaucoup plus aux drones armés, peu coûteux, très rentables ». En matière de munition, dans le corps des bombes, la France a repris une activité, après la disparition de la Société des ateliers mécaniques de Pont-sur-Sambre (SAMP), « grâce à l’initiative du dirigeant de Rafaut, Bruno Berthet, ce qui permet de disposer d’une filière souveraine, dont il faut soutenir l’activité », souligne le magazine. Avec MBDA, Thales, Safran, ECA-Ixblue, Nexter, Eurenco, « la France possède suffisamment de talents pour développer les munitions de demain », insiste Air & Cosmos.

Air & Cosmos du 1er avril

Les Etats-Unis, le Royaume-Uni et l’Australie vont développer des missiles hypersoniques

Le Royaume-Uni, les Etats-Unis et l’Australie ont annoncé mardi qu’ils allaient développer ensemble des armes hypersoniques dans le cadre de leur pacte de sécurité Aukus, qui vise à contrer l’influence croissante de la Chine dans la région Pacifique. « Nous nous engageons aujourd’hui à commencer une nouvelle coopération trilatérale en matière de moyens de guerre hypersoniques, contre-hypersoniques et électroniques », ont indiqué les dirigeants Joe Biden, Boris Johnson et Scott Morrison. Ils sont également convenus « d’étendre le partage d’informations et d’approfondir la coopération en matière d’innovation dans la défense ». L’armée américaine a par ailleurs annoncé avoir testé pour la deuxième fois avec succès un missile hypersonique. Un premier essai probant avait déjà eu lieu en octobre 2021.

Ensemble de la presse du 6 avril

INTERNATIONAL

Air Lease Corporation (ALC) commande 32 B737 MAX

Boeing annonce que le loueur d’avions Air Lease Corporation (ALC) a commandé 32 B737-8 et B737-9 supplémentaires, afin d’accompagner le redressement du marché du transport aérien. Cette nouvelle commande porte à 130 le nombre total de B737 MAX commandés par ALC.

La Tribune du 5 avril

ENVIRONNEMENT

A Lons-le-Saunier, SKF Aerospace investit dans une technologie de pointe en faveur de la décarbonation

SKF Aerospace, leader sur le marché des roulements mécaniques, a dévoilé sur son site de Lons-le-Saunier (Jura), mardi 29 mars, le résultat d’un investissement de 2,5 M€ : une ligne automatisée de placements de fibres pour la production de bielles en composites des Airbus A350. « Pour répondre au défi majeur de l’industrie aéronautique de réduire ses émissions carbone, SKF Aerospace a mis au point une technologie unique permettant un gain de masse additionnel de l’ordre de 10% et un gain de plus de 100 000 tonnes de CO2 sur la vie de la flotte Airbus A350 (A350-1000 et 900ULR) produite et livrée à partir de 2022 », précise le groupe. Cette nouvelle ligne « a pour objectif d’accompagner l’industrie aéronautique dans son ambition de fabrication d’avions à hydrogène d’ici 2030 ». Une modernisation qui s’est accompagnée de la digitalisation de tous les process du site.

L’Usine Nouvelle du 1er avril

INDUSTRIE

Airbus installe une activité de recyclage d’avion à Chengdu en Chine

L’Usine Nouvelle revient sur l’annonce de l’ouverture par Airbus d’un centre dédié à la maintenance et au recyclage des avions, à Chengdu (Sichuan), fin 2023. L’avionneur avait fait part de ce projet à la mi-janvier 2022. Chengdu est un nœud logistique majeur au centre de la Chine : la ville possède deux aéroports internationaux et un écosystème dédié à la maintenance aéronautique. « Cet investissement de plusieurs centaines de millions d’euros représentera à l’horizon 2030 environ 300 emplois », précise Wolfgang Kortas, directeur du projet chez Airbus. Le site s’étendra sur 690 000 m² et aura une capacité de stockage de 125 avions. Le marché aéronautique chinois doit générer une forte demande en maintenance et démantèlement : « Nous estimons qu’il faudra stocker entre 250 et 300 avions en Chine d’ici à 2030 et autant dans les autres pays asiatiques », détaille Wolfgang Kortas. La modernisation, la maintenance, le réaménagement pour une nouvelle compagnie aérienne et la transformation en avions-cargos constitueront 75% des opérations du site chinois. Les autres appareils seront démantelés et recyclés ou vendus en pièces détachées. Airbus développe ces activités à travers Tarmac Aerosave, dont il est actionnaire avec Safran et Suez, mais aussi à travers sa filiale Satair, spécialisée dans la vente de pièces détachées issues d’anciens avions. L’Usine Nouvelle rappelle qu’Airbus a déjà lancé en Chine, à Tianjin, une ligne d’assemblage d’A320 en 2008, et un centre de finition en 2017.

L’Usine Nouvelle du 2 avril

Des A380 pour remplacer l’Antonov An-225 ?

Airbus a lancé une étude de la transformation des A380 en version cargo (P2F, Passager To Freight), afin de pallier la destruction de l’An-225 en Ukraine. Cette idée est portée par Tarmac Aerosave, société commune entre Airbus, Safran et Suez, en charge de la déconstruction des premiers A380, à Tarbes. Tarmac Aerosave a proposé à Airbus un schéma de transformation sur le modèle du Beluga XL. Le défi est de créer le plus grand volume possible en soute.

Aerobuzz du 1er avril

Air France-KLM choisit CFM International pour motoriser ses A320neo et A321neo

Air France-KLM a annoncé lundi avoir retenu CFM International pour lui fournir les moteurs de sa nouvelle flotte d’Airbus A320neo et A321neo. « Le conseil d’administration du groupe a choisi d’entrer en négociations exclusives avec CFM International pour l’achat de moteurs LEAP-1A pour équiper sa future flotte d’Airbus A320neo et A321neo », a indiqué l’entreprise. « Cette décision fait suite à la commande, annoncée en décembre dernier, de 100 appareils de la famille Airbus A320neo, avec des droits d’acquisition pour 60 appareils supplémentaires, afin de renouveler les flottes de KLM et Transavia Pays-Bas, et de renouveler et de faire croître celle de Transavia France », indique Air France-KLM. Le groupe rappelle que CFM International lui fournit déjà des moteurs pour ses flottes de Boeing 737 NG et d’Airbus A320ceo.

Les Echos et Le Figaro du 5 avril

Safran est le groupe industriel français qui a déposé le plus de demandes de brevets en 2021

Le motoriste Safran est le groupe industriel français qui a déposé le plus de demandes de brevets en 2021, indique le bilan annuel de l’Office européen des brevets (OEB) diffusé mardi. Avec 540 brevets déposés à l’OEB (+ 27 % par rapport à 2020), l’équipementier aéronautique passe devant le Commissariat à l’énergie atomique (CEA), le lauréat de l’année dernière, qui a déposé 528 demandes en 2021. « Même si le transport aérien a été affecté par la pandémie, nous n’avons pas baissé la garde sur l’activité inventive et sa protection, puisque nous avons retrouvé notre niveau de 2019 », explique Éric Dalbiès, directeur de la recherche, la technologie et l’innovation du groupe Safran, cité par La Croix. « Aux demandes déposées auprès de l’OEB, il faut ajouter celles faites auprès d’autres juridictions. Au total dans le monde, nous atteignons 1 176 brevets déposés en 2021 », précise-t-il. La décarbonation concerne « 50% des demandes de brevets de l’année dernière », ajoute-t-il. Safran travaille à la fois au développement de moteurs fonctionnant au kérosène de synthèse, une solution considérée comme viable pour la fin de la décennie 2020, et à la révolution de l’hydrogène à l’horizon 2035. « Entre le kérosène de synthèse et les avions à hydrogène, l’ampleur des travaux n’est pas la même pour que ces technologies deviennent des réalités », explique Éric Dalbiès. « Elles seront introduites à des années différentes, mais c’est maintenant que la compétition se joue ».

La Croix, Le Parisien et Boursorama du 5 avril

Demandes mondiales de brevets : la France en 2ème position en Europe, montée en puissance de la Chine

L’Office européen des brevets publie son baromètre annuel de l’innovation, le Patent Index 2021. La France est en 2ème position en Europe avec 10 537 dossiers, derrière l’Allemagne, et en 5ème position au monde derrière les États-Unis, le Japon et la Chine. Ce top 5 mondial est identique à celui de l’année précédente. Déjà en forte croissance en 2019 (+ 9,9 %), la Chine continue de monter en puissance avec + 24% de demandes de brevets. « On assiste à un boom de l’innovation chinoise dans le numérique, la communication numérique, l’intelligence artificielle et l’intelligence des objets. Des technologies qui sont en plein développement et vont s’étendre à toutes les autres industries », décrit Yann Ménière, chef économiste à l’Office européen des brevets (OEB). La France se distingue par sa puissance d’innovation dans les transports : 5 des 10 entreprises françaises les plus innovantes exercent dans ce domaine : Safran, Valeo, Thales, Renault et Michelin. « L’aéronautique est très dynamique cette année, avec + 22,9 % de brevets en 2021 par rapport à 2020, remarque Yann Ménière. Safran, notamment, a déposé de nombreux brevets de rupture sur la transition énergétique : des moteurs capables d’utiliser des biocarburants, des matériaux plus légers, de la recherche pour l’avion à hydrogène… ». L’informatique (669 demandes) est portée par Thales, Dassault mais aussi Michelin ou Schneider Electric. Airbus n’apparaît pas dans le classement français, ses brevets étant comptabilisés aux Pays-Bas.

Le Parisien du 5 avril

Pour Patrice Caine, PDG de Thales, « il n’y a pas suffisamment d’ingénieurs et de scientifiques en France »

Trente dirigeants de grandes entreprises françaises appellent, dans une tribune publiée par Challenges, à ce que les mathématiques retrouvent leur place dans le « tronc commun » du lycée. Olivier Andriès, Directeur général de Safran, et Patrice Caine, PDG de Thales, font notamment partie des signataires. Dans un entretien accordé au Figaro, Patrice Caine souligne : « Avec un certain nombre de patrons, à commencer par ceux qui signent cette tribune, nous partageons ce constat de ne pas avoir suffisamment d’ingénieurs, de scientifiques en France. Ce n’est pas le cas partout. Mais il est clair qu’on manque déjà d’ingénieurs dans des domaines de pointe comme la cybersécurité, la data science ou l’intelligence artificielle. Demain, on risque de faire le même constat d’une pénurie de compétences dans des disciplines révolutionnaires comme le quantique […] la filière mathématique française est au meilleur niveau mondial. Mais le reste doit suivre aussi. On a besoin de former un plus grand volume d’ingénieurs. On manque aussi d’une culture mathématique partagée par le plus grand nombre ».

Challenges du 30 mars et Le Figaro du 31 mars

Nouvelle carrière pour les Beluga ST d’Airbus

Air & Cosmos consacre un article au nouveau service de transport de fret hors gabarit pour ses clients du monde entier, « Airbus Beluga Transport », qui repose sur la capacité unique de son avion Beluga ST. Ce service doit donner naissance à une nouvelle compagnie aérienne en 2023, basée à Toulouse. Le Beluga ST (Super Transporter) dispose de la plus grande section intérieure de tous les avions de transport au monde. Il est en mesure d’accueillir du fret hors gabarit d’une largeur de 7,1 m et d’une hauteur de 6,7 m. « Ces capacités de transport hors normes permettent d’acheminer des aéronefs (par exemple des hélicoptères) sans avoir à les démonter au préalable. De même, les plus gros moteurs d’avions commerciaux peuvent être accueillis dans une configuration complète », explique Philippe Sabo, responsable de l’ATI et du transport aérien hors gabarit chez Airbus.

Air & Cosmos du 1er avril

Eurowings reçoit son premier A320neo

Eurowings, filiale du groupe Lufthansa, a pris livraison de son premier A320neo équipé du nouveau design de cabine Airspace. Eurowings n’emploie que des Airbus, avec 75 appareils de la famille A320 sur son réseau européen, précise Airbus. La compagnie a encore 12 A320neo et A321neo à réceptionner, suite à une commande passée en novembre 2021. « La cabine Airspace d’Airbus apporte l’expérience primée des passagers de gros-porteurs au marché des monocouloirs, en élevant le confort, l’ambiance et les services à un niveau supérieur », précise Airbus. « La famille A320neo est la famille d’avions la plus performante de tous les temps, avec une fiabilité opérationnelle de 99,7%. L’A320neo offre aux opérateurs une réduction de 20% de la consommation de carburant et des émissions de CO2, grâce à des technologies de pointe comme les moteurs de nouvelle génération et les dispositifs d’extrémité d’aile sharklet », déclare le constructeur. À la fin du mois de février 2022, la famille A320neo avait reçu près de 7 900 commandes de plus de 125 clients dans le monde.

Air & Cosmos du 6 avril