Saudia Group commande 105 appareils de la famille A320neo

Saudia Group, représenté par Saudia, la compagnie nationale du Royaume d’Arabie saoudite, et Flyadeal, la compagnie low-cost du groupe, ont signé une commande ferme portant sur 105 appareils supplémentaires de la famille A320neo. La commande comprend 12 A320neo et 93 A321neo. Elle porte le carnet de commandes d’Airbus du groupe Saudia à 144 appareils de la famille A320neo. L’accord a été annoncé lors du Future Aviation Forum à Riyad. Ibrahim Al-Omar, directeur général du groupe Saudia, a souligné : « Saudia a des objectifs opérationnels ambitieux pour répondre à la demande croissante. Nous augmentons le nombre de vols et de sièges sur plus de 100 destinations sur 4 continents, et nous prévoyons de poursuivre notre expansion. Les progrès réalisés dans le cadre de la Vision 2030 de l’Arabie saoudite attirent chaque année davantage de visiteurs, de touristes, d’entrepreneurs et de pèlerins ». Benoît de Saint-Exupéry, executive vice president Sales de la division Commercial Aircraft d’Airbus, a déclaré que l’accord « contribuera à la stratégie de Saudia Group visant à développer les capacités aériennes du Royaume, tout en permettant aux 2 compagnies de bénéficier de l’efficacité exceptionnelle de la famille A320neo, de sa rentabilité supérieure, du plus haut niveau de confort pour les passagers, ainsi que de la réduction de la consommation de carburant et des émissions polluantes ».

Ensemble de la presse du 21 mai

Vers un procédé respectueux de l’environnement pour le recyclage des composites

La société toulousaine Expleo s’est associée au laboratoire Softmat (CNRS/Université Paul-Sabatier) et au Centre interuniversitaire de recherche et d’ingénierie des matériaux (CIRIMAT) pour étudier une solution de recyclage des matériaux composites respectueuse de l’environnement et non-énergivore. « Nous avons réussi à mettre au point un milieu réactionnel qui permet de dégrader la résine époxy dans des conditions douces. Nous avons mis au point une réaction chimique qui fonctionne à pression atmosphérique et à température modérée puisqu’on monte à 60°. En moins de 24 heures on arrive à dégrader complètement le matériau, on récupère les fibres de carbone et la matrice polymérisée », explique Emile Perez, directeur de recherche CNRS au laboratoire Softmat. Ce procédé a été lauréat d’un appel à manifestation d’intérêt organisé par Airbus et Tarmac Aerosave avec le soutien de l’Ademe. « Beaucoup d’industriels sont intéressés par ce procédé. Nous voudrions faire une pré-étude de changement d’échelle : on a validé le concept en laboratoire, on voudrait le tester rapidement avec des pièces composites plus grandes dans les semaines à venir », indique Philippe Ponteins, responsable Innovation au sein d’Expleo. Une mise en application industrielle est envisagée d’ici 5 ans.

La Dépêche du Midi du 21 mai

Le groupe indien Motherson acquiert AD industries

Le rachat de l’entreprise française AD Industries par le groupe indien Motherson a été officiellement annoncé lors du sommet Choose France, pour un investissement de 150 M€. Le groupe Motherson, qui a réalisé un chiffre d’affaires de plus 13 Md€ en 2023, était en négociation depuis plusieurs mois en vue de l’acquisition d’AD Industries. Spécialisée dans la fabrication de composants et de sous-ensembles pour différents secteurs, dont principalement l’aérospatial (plus de 80% de son activité), ainsi que la défense, l’énergie, le médical et l’automobile, AD Industries emploie environ un millier de salariés. L’entreprise compte 11 sites industriels dont 8 en France. Le siège social est établi à Brive-la-Gaillarde (Corrèze). AD Industries avait été repris en décembre 2016 par le fonds d’investissements britannique Stirling Square Capital Partner.

La Tribune du 21 mai

L’investissement des PME et TPE devrait ralentir en 2024

Selon Bpifrance Le Lab et Rexecode, qui présentent le baromètre « Trésorerie, Investissement et Croissance des PME / TPE » du 2ème trimestre 2024, l’investissement devrait être « moins dynamique à court terme », même si « l’appétit pour investir demeure ». Seule 1 PME et TPE sur 2 envisage d’investir en 2024, un chiffre quasi stable par rapport au début d’année mais en recul de 5 points par rapport à il y a 1 an. « Après 3 années de forte croissance qui l’a porté à un niveau élevé, l’investissement devrait nettement ralentir en 2024, la dynamique s’étant essoufflée depuis fin 2023 », observe Baptiste Thornary, responsable du pôle Macroéconomie chez Bpifrance. L’enquête montre que ces 3 dernières années, 55% des PME et TPE sondées ont investi. Parmi celles-ci, une majorité se sont digitalisées ou ont robotisé des tâches, 1/3 ont développé des projets liés à l’environnement. Près d’1 sur 5 dit vouloir augmenter ses dépenses dans le domaine de l’intelligence artificielle.

Les Echos du 21 mai

Airbus signe une commande avec LCI et SMFL pour 21 hélicoptères de dernière génération

Airbus Helicopters annonce une commande portant sur 21 hélicoptères de dernière génération, de la part des sociétés LCI et Sumitomo Mitsui Finance and Leasing Company (SMFL). Cette commande comprend 14 commandes fermes et 7 options. Elle se compose d’un mélange d’hélicoptères légers H145, d’hélicoptères moyens H160 et d’hélicoptères super moyens H175, qui seront livrés jusqu’en 2028 et seront destinés à divers segments opérationnels tels que les services médicaux d’urgence (EMS), la recherche et le sauvetage (SAR) et l’énergie offshore, y compris l’énergie éolienne. Cette commande marque la prochaine phase du partenariat Flight Path entre LCI et Airbus Helicopters, qui vise à répondre de manière responsable aux besoins de capacité et de financement à long terme de l’industrie, selon Bruno Even, PDG d’Airbus Helicopters. Airbus Helicopters précise que les nouveaux appareils offriront des performances et une flexibilité supérieures, ainsi que des émissions de CO2 inférieures à celles d’autres modes de transport de types comparables. Ils seront équipés de la dernière série de fonctions de navigation et de sécurité et pourront également utiliser des carburants aéronautiques durables (SAF).

Ensemble de la presse du 22 mai

Les nouvelles technologies d’assistance au pilotage testées grâce au démonstrateur Optimate d’Airbus

Airbus UpNext, filiale à 100 % d’Airbus, a commencé à tester de nouvelles technologies pour prendre en charge le roulage automatique et améliorer l’assistance au pilote à bord d’un camion électrique innovant. Ces tests interviennent dans le cadre du projet de recherche Optimate, d’une durée de 3 ans, présenté au salon VivaTech (22-25 mai) à Paris. Au cœur de ce projet, un camion électrique baptisé Opti-1 est transformé en démonstrateur d’assistance et de pilotage automatisé d’un avion de ligne. Les premières démonstrations sont menées en partenariat, notamment, avec la DGAC, les aéroports de Toulouse Blagnac et de Roissy Charles de Gaulle et le motoriste Safran. Opti-1 réalisera, en toute autonomie et en conditions réelles, toutes les manœuvres effectuées par les avions, avant le décollage et après l’atterrissage. « Notre ambition est d’utiliser les meilleures technologies pour rendre nos avions encore plus conscients de leurs conditions d’exploitation, en les analysant de la manière la plus détaillée possible pour devenir des assistants intelligents et fiables pour les pilotes, en leur fournissant une assistance optimale. Nous sommes convaincus que ce projet contribuera à rendre les voyages aériens plus sûrs et plus efficaces », a déclaré Michael Augello, PDG d’Airbus UpNext. L’un des principaux objectifs d’Optimate est de développer et de tester un système de roulage automatique basé sur un calcul de position plus précis et plus fiable, et d’évaluer le potentiel de la détection quantique pour améliorer la disponibilité de la position et la robustesse du système de navigation. Un autre objectif est d’étudier les capacités d’une carte collaborative et d’un assistant de vol virtuel pour aider les pilotes à prendre des décisions stratégiques et à interagir avec le contrôle du trafic aérien et les centres d’opérations des compagnies aériennes, précise Airbus.

Ensemble de la presse du 22 mai

Hydrogène : Airbus et ZeroAvia signent des accords avec 3 aéroports canadiens

Airbus et ZeroAvia ont signé 3 protocoles d’accord avec les aéroports les plus fréquentés du Canada, l’aéroport international Montréal-Trudeau, l’aéroport international Pearson de Toronto et l’aéroport international de Vancouver, afin d’étudier la faisabilité d’une infrastructure hydrogène dans les aéroports canadiens. Cette coopération doit permettre de mieux comprendre les concepts et les opérations des aéronefs à hydrogène, l’approvisionnement, l’infrastructure et les besoins de ravitaillement dans les aéroports, afin de développer l’écosystème de l’aviation à hydrogène dans tout le pays. Les partenaires collaboreront également à l’élaboration de réglementations et de normes. C’est la première fois qu’une étude de faisabilité de cette ampleur est réalisée au Canada, ouvrant la voie à l’utilisation de l’hydrogène dans l’aviation.

Le Figaro et Zone-Bourse.com du 22 mai

Trescal acquiert DA&T, laboratoire spécialisé en débitmétrie

Trescal, un leader mondial des services de métrologie, annonce l’acquisition de DA&T (Débitmétrie Aéronautique & Technique), entreprise spécialiste de la mesure du débit des liquides. Basée à La Tour d’Aigues (Provence-Alpes-Côte d’Azur), DA&T génère un chiffre d’affaires de 2 M€. Elle conçoit des systèmes de mesure de débit et fournit des services de métrologie accrédités COFRAC pour tous types d’équipements de mesure de débit liquide multi-fluides dans les industries aéronautique et des transports. « L’acquisition de DA&T permet à Trescal de renforcer son expertise en débitmétrie liquide en France et de continuer à fournir des services de pointe aux grands donneurs d’ordre du secteur aéronautique », déclare Laurent Labatut, directeur général de Trescal France et Afrique. « Les compétences de DA&T s’intègrent parfaitement à celles que nous avons développées ces dernières années en France ».

Challenges TN du 22 mai

« Le redressement du pays est engagé mais il est loin d’être abouti », selon le président du MEDEF

Le président du MEDEF, Patrick Martin, a écrit une lettre au Premier ministre Gabriel Attal ce lundi pour lui suggérer 3 pistes de réformes concernant le plein emploi, la R&D et la décarbonation, signalant que le MEDEF serait « en appui » sur ces sujets. Patrick Martin détaille ces 3 « objectifs structurants permettant d’exprimer pleinement le potentiel bien réel de la France d’ici 2030 ». Le 1er consiste à « augmenter le taux d’emploi de 8 points pour atteindre le plein emploi » et rejoindre ainsi le niveau de l’Allemagne. Le 2ème objectif est de « pourvoir 1 million d’emplois de chercheurs, d’ingénieurs et de scientifiques et porter la Recherche et le Développement (R&D) à 3% du PIB », alors que la France est actuellement à 2,2% du PIB pour ces dépenses, selon le président du MEDEF. Il faut selon lui « doter l’Europe d’une véritable agence de l’innovation », à l’instar de la Darpa, l’agence de R&D du département de la Défense américain. Le 3ème objectif est de « baisser notre empreinte carbone 2 fois plus rapidement, soit 100 millions de tonnes de CO2 de moins » par an. Il faut selon lui arriver à « une révolution climatique des politiques publiques » comprenant un « quoi qu’il en coûte de la simplification » et un « Pacte Vert des investissements ». Patrick Martin s’est également exprimé mardi sur France Inter.

Ensemble de la presse du 22 mai

Groupe Emitech annonce un chiffre d’affaires en hausse en 2023

Le chiffre d’affaires du Groupe Emitech, spécialiste des essais et de la certification, a augmenté de 18,9% par rapport à l’année précédente, atteignant 69,5 M€ pour l’année 2023. Le groupe prévoit que son chiffre d’affaires approchera les 73 M€ en 2024. Son taux de marge d’EBITDA, qui a atteint 19,4% en 2023, est en progression de 2,1 points par rapport à 2022. Le résultat opérationnel a augmenté de 12,5%, atteignant 5,5 M€, tandis que son résultat net consolidé s’élève à 3,8 M€. Le groupe souligne que cette croissance reflète la dynamique des marchés clés auxquels il s’adresse, notamment dans les secteurs de l’automobile, de l’industrie et de la défense. Le groupe français a annoncé l’acquisition en mars 2024 d’un nouveau site à Beaumont-Le-Roger, en Normandie, destiné à accueillir les activités de test de validation et de qualification des système liés à la mobilité durable. Implanté sur l’ensemble du territoire français ainsi qu’au Maroc, Groupe Emitech compte 670 collaborateurs répartis sur 19 sites.

Actutem du 23 mai

MADES, une entreprise du groupe Latecoere, reconnue par RTX avec un « Premier Award » pour ses performances en 2023

RTX a distingué Malaga Aerospace Defense & Electronics Systems (MADES), une entreprise du groupe Latecoere, avec un « Premier Award » pour ses performances en 2023 et son excellence globale dans les catégories « Management des activités » et « Collaboration & Service Client ». MADES propose des services de fabrication électronique, avec une spécialisation dans les systèmes électroniques pour les applications à haute fiabilité dans les secteurs de la défense, de l’aviation commerciale et de l’industrie. Le « Premier Award » est une plateforme annuelle de reconnaissance dans le cadre du programme « Performance+ » de RTX, visant à récompenser les fournisseurs aux performances supérieures et ayant apporté une valeur exceptionnelle à RTX dans l’une des 4 catégories clés : Compétitivité des coûts, Technologie et Innovation, Management des activités, Collaboration & Service Client.

Challenges et ABC Bourse du 23 mai

Réindustrialisation : Expliseat et Ion-X lauréats de l’appel à projets « Première Usine »

Le ministre délégué chargé de l’Industrie, Roland Lescure, a dévoilé, lors du salon Viva Technology (qui se déroule du 22 au 25 mai à Paris Expo Porte de Versailles), la liste des 10 nouvelles usines portées par des startups industrielles, dont le Président de la République avait annoncé la création dans les prochains mois en France. Il s’agit des nouveaux lauréats de l’appel à projets « Première Usine », qui consiste à soutenir les startups industrielles dans le montage financier de leur 1er outil de production. Le gouvernement consacre 42 M€ d’aides pour soutenir les 121 M€ d’investissement productifs prévus par ces 10 projets d’usine, via le plan France 2030 et le soutien de Bpifrance. Parmi les lauréats figurent notamment le projet de la société Expliseat, à Avrillé (Pays de la Loire), qui a conçu et certifié le 1er siège de transport en composite. Cette nouvelle usine doit permettre à la société d’augmenter sa production pour s’adresser à de nouveaux marchés. La future usine d’Ion-X à Palaiseau est aussi retenue. Ce projet permettra à Ion-X d’implanter la 1ère ligne de production de ses moteurs pour petits satellites, avec une cadence cible de 10 moteurs par mois et un CA estimé à 10 M€.

La Tribune du 24 mai

Airbus franchit une nouvelle étape dans la recherche sur la supraconductivité pour les avions à hydrogène : lancement du projet Cryoprop

Airbus UpNext, filiale à 100% d’Airbus, a lancé un nouveau démonstrateur technologique pour accélérer la maturation des technologies supraconductrices destinées aux systèmes de propulsion électrique d’un futur avion à hydrogène. Baptisé Cryoprop, ce nouveau démonstrateur « intégrera et fera mûrir un système de propulsion électrique supraconducteur d’une puissance de 2 mégawatts, refroidi par de l’hydrogène liquide via une boucle de recirculation d’hélium et développé par les équipes d’Airbus à Toulouse, en France, et à Ottobrunn, en Allemagne », indique Airbus. « Nos précédents démonstrateurs ont montré que les technologies supraconductrices seraient un élément clé pour l’électrification à haute puissance des futurs avions à hydrogène. Je suis convaincu que le nouveau démonstrateur permettra d’améliorer les performances du système de propulsion, ce qui se traduira par des économies significatives de poids et de carburant », a déclaré Michael Augello, PDG d’Airbus UpNext. Airbus développe depuis plusieurs années des technologies supraconductrices pour la propulsion électrique à haute puissance, qui ont abouti l’année dernière à la mise sous tension d’un système de propulsion cryogénique intégré de 500 kW.

Air & Cosmos et ABC Bourse du 24 mai

Safran a tenu son Assemblée Générale 2024

Safran a tenu son Assemblée générale ordinaire annuelle, sous la présidence de Ross McInnes, président du Conseil d’administration. Olivier Andriès, directeur général du groupe, a souligné que « jamais la demande n’avait été aussi soutenue, jamais non plus la supply chain n’avait été aussi fragilisée par des chocs successifs », tout en confirmant les objectifs de croissance. Interrogé sur la concomitance des montées en cadences de ses différents moteurs, civils et militaires, le dirigeant a indiqué : « Nous avons devant nous un 2ème ramp up du Leap, car nous sommes descendus en 2020, et les avionneurs accélèrent. Le succès du Rafale fait aussi qu’il va être nécessaire de multiplier la cadence du M88 par un facteur 3 à 4 ». L’an dernier, Safran a livré 1 570 moteurs Leap (à Airbus, Boeing, Comac), soit une hausse de 38% en 1 an. Le directeur général a réaffirmé l’importance du pôle défense, rappelant notamment le succès de l’armement air-sol modulaire, AASM, de Safran Defense and Electronics. Les questions relatives à la décarbonation ont également été abordées. Selon Olivier Andriès, « L’hydrogène n’est pas envisageable pour les long-courriers, les carburants durables synthétiques ou bio semblent le moyen le plus accessible à court terme et pour atteindre l’objectif de zéro émission en 2050 fixé par l’OACI ». Safran indique qu’il publiera ses résultats du 1er semestre 2024 le jeudi 31 juillet prochain.

Les Echos Investir du 24 mai

La France et l’Allemagne publient une feuille de route commune pour la compétitivité de l’Europe

Le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, et son homologue allemand, Robert Habeck, ont dévoilé jeudi 23 mai une ébauche de stratégie commune franco-allemande pour la compétitivité européenne. Un conseil des ministres franco-allemand est prévu la semaine prochaine en Allemagne. L’objectif est d’harmoniser la vision des 2 pays. Les ministères français et allemand de l’Economie ont déclaré dans ce document que l’Europe avait besoin d’un « nouveau dynamisme économique au cours des 5 prochaines années, et que tous les outils devraient être utilisés pour le construire ». La France et l’Allemagne souhaitent notamment que la future Commission européenne, qui sera désignée après l’élection européenne du 9 juin, se concentre sur l’investissement et sur la réduction des formalités administratives. Les 2 ministres ont appelé à une simplification de la réglementation des marchés financiers, tout en facilitant la levée de fonds propres pour les entreprises.

Ensemble de la presse du 24 mai